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MERCREDI
8 JANVIER 2003
14 h au RECTORAT à NICE
RASSEMBLEMENT
-
La dotation 2003 (74 postes pour l'Académie de Nice contre 125
l'an dernier) va poser d'énormes problèmes pour notre futur
quotidien.
La FSU a pris l'initiative d'impulser une action qui intègre
les organisations du "Collectif pour un plan de rattrapage
des retards de l'Académie de Nice", le jour du CTPA
où se fera notamment la répartition des postes entres les deux
départements.
-
-
|
Lettre
ouverte au Premier Ministre
après
la grève du 17 octobre et la Manifestation du 8 décembre
à Paris
FAEN
FERC-CGT FSU SGEN-CFDT UNSA-Éducation FCPE FIDL UNL UNEF
Monsieur
Jean-Pierre Raffarin
Premier Ministre
Hôtel Matignon
57 rue de Varenne
75700 Paris
Paris,
le 20 décembre 2002
Monsieur
le Premier ministre,
Le 17 octobre
dernier, au soir d'une journée nationale de manifestations et
de grève majoritairement suivie par les personnels de l'Éducation
et de la Recherche publique, la FAEN, la FERC-CGT, la FSU, le
Sgen-CFDT, l'UNSA-Éducation, la FCPE, la FIDL, l’UNL et l’UNEF
vous avaient écrit pour vous dire leur profonde inquiétude concernant
le projet de loi de Finances qui ne permettait pas des choix d'avenir
positifs et concernant les annonces contradictoires sur la décentralisation.
Cette lettre étant restée sans réponse, la loi de Finances n'ayant
pas été modifiée, l'inquiétude des personnels, des parents, des
jeunes n'a cessé de croître.
Cette inquiétude,
et l'exigence d'une autre politique en matière d'Éducation et
de Recherche publique ont conduit les principales fédérations
de l'Éducation, une fédération de parents d'élèves et les organisations
d'étudiants et de lycéens à manifester à Paris le 8 décembre dernier.
Monsieur
le Premier ministre, la situation est grave et le mécontentement,
le désarroi, voire la colère ne cessent de s'amplifier.
À plusieurs
reprises, ces dernières semaines, vous êtes intervenu pour dire
l'importance que vous accordiez au système éducatif et à ses personnels.
Il vous appartient de concrétiser vos déclarations par des actes
et nous vous demandons donc de nous recevoir afin de débattre
de la situation.
Dès la
rentrée de janvier, au vu de votre réponse et des évolutions,
nous saurons prendre à nouveau nos responsabilités si cela devait
s'avérer nécessaire.
Nous vous
prions de croire, Monsieur le Premier Ministre, en l’expression
de nos sentiments respectueux.
|
Nouvelle
manifestation Samedi 18 janvier 2003
15 h - Place de la Liberté - TOULON
|
Le
SNUipp-FSU confirme sa première place dans le Var.
Plus d'un collègue sur deux a voté pour le syndicalisme
unitaire, d'action et de propositions pour transformer l'École et
défendre la profession.
Avec
51% des voix et 6 sièges sur 10, il va continuer à
agir et ce dès dimanche à Paris, par dizaines de milliers
pour exiger un budget à la hauteur des besoins.
D'autre
part, la FSU obtient 3 sièges sur 5 pour les PEGC et 5 sièges sur
6 pour les Aides-Éducateurs.
Avant,
pendant et après les élections...
l'action TOUS ENSEMBLE !
|
Inscrits |
5027
|
Votants |
3680
|
Blancs ou Nuls |
169
|
Exprimés |
3511
|
SNUipp-FSU |
1789
|
51%
|
SE-UNSA |
1187
|
33,8%
|
SGEN-CFDT |
207
|
5,9%
|
SNUDI-FO |
102
|
2,9%
|
SNE-CSEN |
226
|
6,4%
|
Retraites
Déclaration
commune de la Confédération Générale du Travail et de la Fédération
Syndicale Unitaire
La CGT et la FSU se
sont rencontrées pour faire le point sur les questions de l’avenir
des retraites.
Les négociations qui
vont débuter nécessitent une forte unité syndicale pour ouvrir
la voie à une réforme garantissant notre système de retraite par
répartition.
Les deux organisations
considèrent en effet que l’allongement de l’espérance de vie et
l’arrivée à l’âge de la retraite des générations d’après-guerre
ne sauraient se traduire par des régressions en termes de taux
de remplacement ou d’âge de départ en retraite.
La CGT et la FSU considèrent
qu’il est possible, tout en préservant les spécificités des divers
régimes, de faire converger les intérêts des salariés du privé
et du public autour d’un certain nombre d’objectifs :
- la défense et l’amélioration
des retraites par répartition,
- un droit effectif
au départ à 60 ans,
- un taux de remplacement
élevé relativement au salaire de référence pour lequel la CGT
et la FSU proposent 75 % minimum
- et la mise en place
de droits nouveaux en particulier la prise en compte des périodes
de formation ou de chômage qui n’ouvrent pas aujourd’hui de
droits à la retraite.
Tout cela implique
à la fois
- de défendre les
régimes statutaires,
- de refuser tout
allongement de la durée de cotisations tant dans le public que
dans le privé pour toucher une retraite à taux plein,
- de revenir sur les
fortes dégradations imposées au régime général et de renforcer
les solidarités entre les différentes composantes du système
de retraite.
Les travaux du Conseil
d’Orientation des Retraites notamment ont montré que si des réformes
étaient indispensables, l’avenir était maîtrisable et qu’il était
parfaitement crédible de rechercher dans la durée les moyens de
consacrer de façon équitable une part plus importante des richesses
produites au financement des retraites.
La première condition
est de viser à relever le taux d’emploi à tous les âges de la
vie active et de développer de vraies politiques de lutte contre
le chômage et la précarité.
D’autres ressources
peuvent être dégagées par l’intégration dans la cotisation des
éléments de rémunération qui y échappent, par la taxation des
revenus financiers des entreprises et par une prise en compte
de la valeur ajoutée dans le calcul de la contribution patronale.
La CGT et la FSU estiment
indispensable une mobilisation unitaire des salariés fin janvier
2003 pour que s’ouvrent de vraies négociations avec le gouvernement
et pour peser sur leur contenu.
Elles entendent contribuer
au rassemblement le plus large des forces syndicales dans cette
perspective.
Le 23 décembre
2002
|
NON A
LA PRIVATISATION DE LA RESTAURATION SCOLAIRE
Voir les photos Mardi
26 à midi devant
la Mairie Revue
de presse du 27/11
20/11/02
- Communiqué commun SNUipp-FSU - CGT Agents Territoriaux
21/11/02
- Réunion SNUipp-FSU - CGT Agents Territoriaux - FCPE -
Syndiqués FO
Bourse du Travail : Non à la privatisation !
Appel au rassemblement du 26 et à une
réunion
le 03/12 à 18 h à la Bourse du Travail
Le
SNUipp-FSU appelle les collègues à dire haut et fort
NON à la privatisation !
OUI au Service Public !
Que
les Conseils d’École se prononcent dans ce sens, ça pourrait
déjà peser !
Nous
prenons les premiers contacts pour empêcher ce mauvais coup ! Que
chacun se tienne prêt !
|
RÉUNION
SNUipp-FSU - VENDREDI
15 NOVEMBRE 2002
17 h - Mat. Pierre Semard
"Chaud
devant !"
La réunion
du SNUipp-FSU du vendredi 15 a été très
dynamique et constructive. La trentaine de participants a pu
échanger sur la nécessité de poursuivre
l'action après la grève du 17 octobre par la grande
manif nationale du 8 décembre à Paris.
Service
Public d'Éducation Nationale, Services Publics plus généralement,
salaires, retraites, conditions de travail, carte scolaire...
ont constitué l'essentiel de la première partie
de la réunion. Les participants se sont montrés
très mobilisés sur toutes ces question et en particulier
sur les retraites...
Les questions
locales ont occupé la suite de la réunion même
si elles sont souvent liées aux questions nationales...
A suivre !

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- Réussir
un grand 8 décembre pour construire un plus grand rassemblement
encore pour les Services Publics
- Retraites
: ils nous cherchent ? Ils vont nous trouver !
- Raisons
de plus de se battre !
Savoir que beaucoup vivent plus mal que
nous ne doit surtout pas nous donner mauvaise conscience sur
nos revendications : au contraire ! C'est parce que depuis des
siècles les Hommes et les Femmes luttent pour améliorer leur
quotidien et transformer le monde que l'espoir et le progrès
sont possibles ! Lire
la suite...
|
GRÈVE
du 17 Octobre 2002...Suite de l'ACTION
MANIFESTATION
NATIONALE à PARIS
DIMANCHE
8 DÉCEMBRE 2002
Parce
que nous sommes ambitieux pour tous les jeunes et pour l'avenir
de notre société,
- nous voulons la
réussite de tous,
- nous voulons que
le jeune reste au centre du système éducatif,
- nous refusons d'opposer
savoirs et éducation,
- nous entendons combattre
l'exclusion, les inégalités,
- nous voulons un
développement économique et social fondé sur la justice, la
solidarité, l'accès aux qualifications et à la formation,
- nous voulons que
le service public d'éducation et de formation soit la priorité
de la Nation.
Ce n'est pas le choix
que fait le gouvernement actuellement : il abandonne la priorité
à l'éducation, il remet en cause l'ambition de faire réussir
tous les jeunes, il porte atteinte à l'objectif de démocratisation.
Suppression de postes
et diminution des crédits pour l'éducation et la recherche publique
vont à l'encontre de nos exigences.
Sous couvert de décentralisation
et d'expérimentation par les collectivités territoriales, il
ne donne pas les garanties nécessaires sur l'égalité d'accès
à l'éducation, la pérennité des missions et le statut de l'ensemble
des personnels. Il menace l'unité du service public.
Ce sont d'autres
choix, d'autres orientations et d'autres ambitions qu'il faut
pour les jeunes et pour le service public.
Pour cela, nous appelons
les personnels, les parents, les jeunes et plus largement toutes
celles et tous ceux qui se reconnaissent dans ces exigences,
à une
manifestation
nationale à Paris
le DIMANCHE 8 DÉCEMBRE 2002 pour :
- La priorité à l'éducation
et à la recherche publique.
- Des moyens et des
personnels qualifiés pour la réussite de tous.
- Un service public
démocratique répondant aux besoins de la Nation.
Après
les importantes mobilisations du 17 octobre, les fédérations
FAEN, FERC-CGT, FSU, SGEN-CFDT, UNSA éducation, la fédération
de parents FCPE , les étudiants avec l'UNEF, les lycéens avec
la FIDL et l'UNL appellent à manifester à Paris le dimanche
8 décembre pour donner " la priorité à l'éducation ".
Le
succès de la grève du 17 octobre a interpellé l'opinion publique.
Selon un sondage réalisé le jour même, 73% des Français "
soutiennent ou ont de la sympathie pour le mouvement de grève
".
Ce
n'est pas le cas de ministres fort silencieux. Pourtant, il
s'agit de la prochaine rentrée scolaire : avec 41000 élèves
de plus, les 1000 postes prévus ne suffiront pas et n'ouvriront
la voie à aucune amélioration qualitative.
De
plus les écoles primaires vont être les premières à faire les
frais de la suppression des aides-éducateurs. Près de 15 000
partiront en juin 2003, alors que, de l'avis unanime, ils ont
participé à la bonne marche des écoles. Et ainsi fait la démonstration
de l'existence possible de nouveaux métiers.
Les
choses ne peuvent rester en l'état. Le service public d'éducation
doit être la priorité et les choix budgétaires doivent le traduire
clairement : recrutements d'enseignants en nombre suffisant
afin de travailler avec plus de maîtres que de classes, développer
le travail en équipe et le temps de concertation, permettre
de bonnes conditions de scolarisation à l'école maternelle…
c'est
pour porter cette ambition que les 5 fédérations de l'Éducation
nationale, la FCPE, l'UNEF, la FIDL et l'UNL appellent à une
manifestation nationale unitaire le 8 décembre prochain à Paris.
Pour la réussite de tous, pour l'égalité décidément "il
n'y a pas meilleure école que l'école".
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"l'Éducation
n'est pas une marchandise"
Intéressant
pour bien comprendre où "ils" voudraient aller...
si on les laissait faire !
En
cette période de luttes pour la défense et l'amélioration
du Service Public d'Éducation Nationale et où l'on parle
beaucoup de décentralisation, il sera très utile
de (re)lire

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