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Dernière minute
NON
A LA PRIVATISATION DE LA RESTAURATION SCOLAIRE
Le
SNUipp-FSU appelle les collègues à dire haut et fort
NON à la privatisation !
OUI au Service Public !
Que
les Conseils d’École se prononcent dans ce sens, ça pourrait
déjà peser !
Nous
prenons les premiers contacts pour empêcher ce mauvais coup ! Que
chacun se tienne prêt !
|
RÉUNION
SNUipp-FSU - VENDREDI
15 NOVEMBRE 2002
17 h - Mat. Pierre Semard
"Chaud
devant !"
La réunion
du SNUipp-FSU du vendredi 15 a été très
dynamique et constructive. La trentaine de participants a pu
échanger sur la nécessité de poursuivre
l'action après la grève du 17 octobre par la grande
manif nationale du 8 décembre à Paris.
Service
Public d'Éducation Nationale, Services Publics plus généralement,
salaires, retraites, conditions de travail, carte scolaire...
ont constitué l'essentiel de la première partie
de la réunion. Les participants se sont montrés
très mobilisés sur toutes ces question et en particulier
sur les retraites...
Les questions
locales ont occupé la suite de la réunion même
si elles sont souvent liées aux questions nationales...
A suivre !

|
- Réussir
un grand 8 décembre pour construire un plus grand rassemblement
encore pour les Services Publics
- Retraites
: ils nous cherchent ? Ils vont nous trouver !
- Raisons
de plus de se battre !
Savoir que beaucoup vivent plus mal que
nous ne doit surtout pas nous donner mauvaise conscience sur
nos revendications : au contraire ! C'est parce que depuis des
siècles les Hommes et les Femmes luttent pour améliorer leur
quotidien et transformer le monde que l'espoir et le progrès
sont possibles ! Lire
la suite...
|
Samedi
23 novembre
au Centre de vacances RATP, Chemin de l'Evescat
Direction du Fort Napoléon - LA
SEYNE à 14 h
avec la participation de Bernard Saincy
du Conseil Scientifique d'ATTAC
ATTAC
VAR organise un Forum Social
sur le thème des
Services Publics
et des Retraites
La FSU,
membre d'ATTAC y participera et elle appelle les collègues
à faire de même. L'actualité de ce débat
n'échappera à personne
|
GRÈVE
du 17 Octobre 2002...Suite de l'ACTION
MANIFESTATION
NATIONALE à PARIS
DIMANCHE
8 DÉCEMBRE 2002
Parce
que nous sommes ambitieux pour tous les jeunes et pour l'avenir
de notre société,
- nous voulons la
réussite de tous,
- nous voulons que
le jeune reste au centre du système éducatif,
- nous refusons d'opposer
savoirs et éducation,
- nous entendons combattre
l'exclusion, les inégalités,
- nous voulons un
développement économique et social fondé sur la justice, la
solidarité, l'accès aux qualifications et à la formation,
- nous voulons que
le service public d'éducation et de formation soit la priorité
de la Nation.
Ce n'est pas le choix
que fait le gouvernement actuellement : il abandonne la priorité
à l'éducation, il remet en cause l'ambition de faire réussir
tous les jeunes, il porte atteinte à l'objectif de démocratisation.
Suppression de postes
et diminution des crédits pour l'éducation et la recherche publique
vont à l'encontre de nos exigences.
Sous couvert de décentralisation
et d'expérimentation par les collectivités territoriales, il
ne donne pas les garanties nécessaires sur l'égalité d'accès
à l'éducation, la pérennité des missions et le statut de l'ensemble
des personnels. Il menace l'unité du service public.
Ce sont d'autres
choix, d'autres orientations et d'autres ambitions qu'il faut
pour les jeunes et pour le service public.
Pour cela, nous appelons
les personnels, les parents, les jeunes et plus largement toutes
celles et tous ceux qui se reconnaissent dans ces exigences,
à une
manifestation
nationale à Paris
le DIMANCHE 8 DÉCEMBRE 2002 pour :
- La priorité à l'éducation
et à la recherche publique.
- Des moyens et des
personnels qualifiés pour la réussite de tous.
- Un service public
démocratique répondant aux besoins de la Nation.
Après
les importantes mobilisations du 17 octobre, les fédérations
FAEN, FERC-CGT, FSU, SGEN-CFDT, UNSA éducation, la fédération
de parents FCPE , les étudiants avec l'UNEF, les lycéens avec
la FIDL et l'UNL appellent à manifester à Paris le dimanche
8 décembre pour donner " la priorité à l'éducation ".
Le
succès de la grève du 17 octobre a interpellé l'opinion publique.
Selon un sondage réalisé le jour même, 73% des Français "
soutiennent ou ont de la sympathie pour le mouvement de grève
".
Ce
n'est pas le cas de ministres fort silencieux. Pourtant, il
s'agit de la prochaine rentrée scolaire : avec 41000 élèves
de plus, les 1000 postes prévus ne suffiront pas et n'ouvriront
la voie à aucune amélioration qualitative.
De
plus les écoles primaires vont être les premières à faire les
frais de la suppression des aides-éducateurs. Près de 15 000
partiront en juin 2003, alors que, de l'avis unanime, ils ont
participé à la bonne marche des écoles. Et ainsi fait la démonstration
de l'existence possible de nouveaux métiers.
Les
choses ne peuvent rester en l'état. Le service public d'éducation
doit être la priorité et les choix budgétaires doivent le traduire
clairement : recrutements d'enseignants en nombre suffisant
afin de travailler avec plus de maîtres que de classes, développer
le travail en équipe et le temps de concertation, permettre
de bonnes conditions de scolarisation à l'école maternelle…
c'est
pour porter cette ambition que les 5 fédérations de l'Éducation
nationale, la FCPE, l'UNEF, la FIDL et l'UNL appellent à une
manifestation nationale unitaire le 8 décembre prochain à Paris.
Pour la réussite de tous, pour l'égalité décidément "il
n'y a pas meilleure école que l'école".
|
GRÈVE
du 17 Octobre 2002...Suite de l'ACTION
MANIFESTATION
NATIONALE à PARIS
DIMANCHE
8 DÉCEMBRE 2002
AFP
- Les enseignants dans la rue le 8 décembre, avec parents, lycéens
et étudiants 07/11 17:14
Les
cinq principales fédérations d'enseignants ont lancé jeudi un
appel à une manifestation nationale à Paris, le 8 décembre,
alliés à des syndicats de gauche de lycéens, d'étudiants et
de parents d'élèves, pour protester contre la politique du gouvernement
sur l'École. Alors que le ministère de l'éducation faisait
jeudi une présentation très politique des baisses de performance
du système éducatif depuis le milieu des années 90 pour justifier
ses orientations, le monde enseignant qui a déjà observé une
grève unitaire le 17 octobre, a durci le ton face au gouvernement.
Chose
inhabituelle, la manifestation unitaire aura lieu un dimanche,
à Paris. Les principales critiques portent sur le manque de
priorité accordé à l'éducation et à la recherche dans le budget,
et les craintes que font peser les projets de décentralisation
sur "l'unicité" du service public. "Le gouvernement abandonne
la priorité à l'éducation, il remet en cause l'ambition de faire
réussir tous les jeunes, il porte atteinte à l'objectif de démocratisation",
indique le communiqué commun des neuf organisations concernées
(FAEN, FERC-CGT, FSU, SGEN-CFDT et UNSA-Education pour les enseignants,
UNL et FIDL pour les lycéens, UNEF pour les étudiants et FCPE
pour les parents).
"Sous
couvert de décentralisation et d'expérimentation par les collectivités
territoriales, le gouvernement ne donne pas les garanties nécessaires
sur l'égalité d'accès à l'éducation, la pérennité des missions
et le statut de l'ensemble des personnels", soulignent les signataires.
Factuellement, le budget 2003 de l'éducation augmente par rapport
à celui de 2002, ce qui rend difficile l'angle d'attaque traditionnel
des baisses de moyens. Mais le nombre d'emplois diminue. Et
surtout, le plan pluriannuel de recrutement, lancé par Jack
Lang, a été suspendu. La suppression annoncée de 5.600 postes
de surveillants l'an prochain, qui doivent être remplacés par
de nouveaux "assistants d'éducation", est critiquée aussi bien
par les enseignants, que les parents ou les lycéens. D'autant
qu'elle se combine avec la fin de contrat de 20.000 aide-éducateurs.
Les syndicats pointent la contradiction qui existe entre la
baisse du nombre d'adultes dans les établissements scolaires,
et la priorité donnée par le gouvernement à la lutte contre
la violence.
M.
Ferry a précisé jeudi que "priorité absolue" sera donnée aux
candidats étudiants pour le recrutement des assistants d'éducation,
afin de calmer la polémique née après la publication de projets
du gouvernement d'embaucher des mères de famille et des retraités,
privant ainsi des étudiants à revenus modestes d'une source
de revenu. Jeudi, la directrice de la programmation et du développement
(DPD) du ministère, Claudine Peretti, nommée le 23 octobre,
a présenté à la presse une batterie de chiffres et de comparaisons
internationales, prouvant que les performances éducatives stagnent
en France alors que la dépense est plus élevée qu'ailleurs.
La part du PIB consacrée à l'éducation est supérieure à la moyenne
de celle des pays développés de l'OCDE (6,2% contre 5,5%), mais
le nombre de jeunes accédant au niveau du bac a arrêté d'augmenter
et celui des jeunes sortant sans qualification du système éducatif
a arrêté de baisser depuis le milieu des années 90: Luc Ferry
estime qu'il s'agit d'une "panne de l'école", que l'on ne peut
pas réparer seulement en augmentant les postes.
Manifestation
unitaire dans l'Éducation nationale le 8 décembre [2002-11-07
16:14] PARIS (Reuters)
Les
cinq principales fédérations syndicales de l'Éducation
nationale appellent à une manifestation nationale unitaire le
dimanche 8 décembre à Paris pour réclamer une augmentation du
budget consacré à l'éducation et des garanties sur la décentralisation
du service public.
Les
cinq fédérations signataires (FSU, Unsa-Education, SGEN-CFDT,
FAEN et CGT) sont soutenues par la fédération de parents d'élèves
FCPE et par les syndicats de lycéens et d'étudiants Unef, FIDL
et UNL.
"Nous
voulons que le service public d'éducation et de formation soit
la priorité de la Nation", rappellent-elles dans un communiqué
conjoint publié jeudi. "Ce n'est pas le choix que fait le gouvernement
actuellement: il abandonne la priorité à l'éducation, il remet
en cause l'ambition de faire réussir tous les jeunes, soulignent-elles,
en réclamant: "La priorité à l'éducation et à la recherche publique;
des moyens et des personnes qualifiés pour la réussite de tous;
un service public démocratique répondant aux besoins de la Nation."
Le
17 octobre, plusieurs milliers de personnes avaient manifesté
sur le même thème à Paris et en province, à l'occasion d'une
journée de grève organisée par les cinq fédérations. Celles-ci
avaient alors menacé de "donner des suites" à leur mouvement
si le gouvernement ne revoyait pas sa copie budgétaire.
PARTICIPATION
DES COLLECTIVITÉS LOCALES
Les
syndicats se sont dit "très déçus" par la première table ronde
organisée lundi au ministère de l'Éducation nationale
sur le dispositif des assistants d'éducation, qui doivent remplacer
les 5.600 postes de surveillants et les 20.000 postes d'aide-éducateurs
(emplois-jeunes) supprimés l'an prochain. Les syndicats enseignants
et étudiants FSU, Unsa, CFDT, CGT et Unef estiment qu'il s'agit
là d'un "plan scandaleux de mise au chômage de milliers de jeunes".
Le ministère prévoit 11.000 assistants d'éducation à la rentrée
scolaire 2003, le dispositif étant doté d'une enveloppe de 14
millions d'euros, avec la participation des collectivités locales
sur la base du volontariat. Dans un communiqué, le ministre
de l'Éducation nationale a souligné jeudi que "le nombre
des assistants d'éducation affectés à des missions de surveillance
dans les établissements scolaires sera, en tout état de cause,
au moins égal au nombre de MI-SE (aide-éducateurs et surveillants)
supprimé". "Afin de répondre aux inquiétudes apparues ici ou
là, je tiens à souligner que lors du recrutement des assistants
d'éducation, priorité absolue sera donnée aux candidats étudiants
et notamment aux étudiants se destinant aux métiers de l'enseignement",
a ajouté Luc Ferry. Le ministre estime que la priorité doit
être donnée aux postes de surveillance et d'aide aux élèves
handicapés. Une nouvelle table ronde est prévue le 27 novembre
au ministère.
Éducation:
manifestation nationale unitaire à Paris le 8 décembre [07/11/2002
14:39] PARIS (AP)
Les
cinq fédérations syndicales de l'Éducation appellent
à une grande manifestation nationale unitaire à Paris le 8 décembre
pour protester contre les orientations générales du budget 2003
dans leur secteur, notamment les suppressions de postes de surveillants
et d'aides-éducateurs. La décision, prise mercredi soir à l'issue
d'une réunion commune, a été rendue publique jeudi matin par
les syndicats. La Fédération syndicale unitaire (FSU, première
organisation des personnels de l'Éducation), la Fédération
autonome de l'Éducation nationale (FAEN), l'Union nationale
des syndicats autonomes-Éducation (UNSA-Education), la
Fédération de l'Éducation de la Recherche et de la Culture-CGT
(FERC-CGT) et le Syndicat général de l'Éducation nationale-CFDT
(SGEN-CFDT) sont à l'origine de cet appel. Leur démarche a reçu
le soutien de la Fédération des conseils des parents d'élèves
(FCPE) et des syndicats étudiants et lycéens (FIDL, UNL et UNEF).
Le
gouvernement «abandonne la priorité à l'éducation, il remet
en cause l'ambition de faire réussir tous les jeunes, il porte
atteinte à l'objectif de démocratisation», estiment toutes ces
organisations dans un communiqué commun diffusé jeudi. «Suppressions
de postes et diminution des crédits pour l'éducation et la recherche
publique vont à l'encontre de nos exigences», ajoutent-elles.
Elles font également part de leurs inquiétudes en matière de
décentralisation et d'expérimentation pour les collectivités
territoriales. Dans ces deux domaines, le gouvernement «ne donne
pas les garanties nécessaires sur l'égalité d'accès à l'éducation,
la pérennité des missions et le statut de l'ensemble des personnels».
Pour les syndicats, le gouvernement «menace l'unité du service
public. Ce sont d'autres choix, d'autres orientations et d'autres
ambitions qu'il faut pour les jeunes et pour le service public».
En
conséquence, ils appellent «les personnels, les parents, les
jeunes et plus largement toutes celles et tous ceux qui se reconnaissent
dans ces exigences à une manifestation nationale à Paris le
dimanche 8 décembre pour la priorité à l'éducation et à la recherche
publique, des moyens et des personnels qualifiés pour la réussite
de tous, un service public démocratique répondant aux besoins
de la Nation».
Le
17 octobre dernier, plusieurs dizaines de milliers d'enseignants
et de parents avaient manifesté dans une centaine de villes
à travers toute la France à l'occasion d'une journée de grève
organisée par les syndicats de l'Éducation nationale,
sur la base des mêmes mots d'ordre. Ils avaient alors promis
de «donner des suites» au mouvement si le gouvernement n'acceptait
pas de revoir son budget «dans la concertation».
|
GRÈVE
du 17 Octobre 2002...Suite...
Lettre
commune au Premier Ministre
Après la grève
du 17 octobre 2002, une réunion unitaire rassemblant FAEN, FERC-CGT,
FSU, SGEN/CFDT, UNSA-EDUCATION s'est tenue.
Une
manifestation nationale d'ici la mi décembre est proposée.
Les organisations
: FAEN,FERC-CGT,FSU,SGEN/CFDT,UNSA-EDUCATION réunies le 4 novembre,
constatent que, malgré le succès de la grève du 17 octobre,
le gouvernement n'a pas entendu les revendications exprimées
avec force.
Le projet de loi
de finances n'a pas été modifié et aucune garantie n'a été donnée
sur l'unité du Service Public d'Education, son amélioration
et son développement.
Aucun véritable
dialogue social n'a été établi alors que le gouvernement multiplie
les déclarations et les actes qui aggravent la situation.
Elles estiment
donc indispensable une poursuite de l'action.
A cette fin elles
proposent à toutes les forces attachées au service public d'éducation
et de recherche et à la réussite de tous les jeunes (parents,
étudiants, lycéens…), une manifestation nationale d'ici la mi
décembre.
Elles en arrêteront
toutes les modalités sous 48h.
Mardi
5 novembre 2002
-
- Le
mouvement des personnels de l'éducation nationale a été largement
suivi, jeudi 17 octobre. Environ 50 000 personnes ont défilé
dans les principales villes contre les choix budgétaires du
gouvernement, qui doivent être débattus à partir du mardi 22
octobre à l'Assemblée.
-
LIRE
ÉGALEMENT
- L'Humanité
23/10/02
- Libération
23/10/02
- Le
Monde 23/10/02
- Le
gouvernement revalorise de 0,7% les traitements des fonctionnaires
Le ministre de la Fonction publique Jean-Paul Delevoye a
présenté mercredi en conseil des ministres un décret revalorisant
de 0,7% les traitements des fonctionnaires à compter du 1er
décembre prochain. Le montant de la rémunération minimale mensuelle
brute des agents de la fonction publique est porté à 1.141,72
euros, et le minimum de pension à 944,87 euros. Cette revalorisation
prévue par le gouvernement Jospin intervient après une première
augmentation de 0,6% intervenue le 1er mars. Ces revalorisations
ont été jugées insuffisantes par l'ensemble des syndicats de
fonctionnaires
- De
Michel à Jean-Louis : le centralisme jacobin en héritage
•
LE MONDE | 02.11.02 | 11h28
A
la commission Mauroy, Jean-Pierre Raffarin était "encore
plus décentralisateur"
•
LE MONDE | 02.11.02 | 11h28
Patrick
Devedjian : "Il est normal que les inquiétudes s'expriment"
•
LE MONDE | 02.11.02 | 11h28
M.
Debré adresse une sévère mise en garde à M. Raffarin
contre l'"intégrisme décentralisateur"
•
LE MONDE | 01.11.02 | 11h25
Pendant
ce temps, le Sénat doit encore examiner 179 amendements...
•
LE MONDE | 01.11.02 | 11h25
La
gauche sénatoriale se ressoude pour dénoncer le projet de loi
sur la décentralisation
•
LE MONDE | 31.10.02 | 12h31
Le
Sénat a voté pour la décentralisation
•
LE MONDE | 30.10.02 | 13h29
Jean-Pierre
Raffarin appelle les Corses à se prononcer "sur les perspectives
institutionnelles" de l'île
•
LE MONDE | 29.10.02 | 12h14
"Je
me méfie d'une certaine forme de régionalisme"
•
LE MONDE | 29.10.02 | 12h14
M.
Debré relaie les réserves de M. Chirac sur la décentralisation
|
GRÈVE du 17 Octobre 2002...Suite...
Lettre
commune au Premier Ministre
après la
grève du 17 octobre 2002, une réunion unitaire rassemblant FAEN,
FERC-CGT, FSU, SGEN/CFDT, UNSA-EDUCATION s'est tenue.
Une
manifestation nationale d'ici la mi décembre est proposée.
Les organisations
: FAEN,FERC-CGT,FSU,SGEN/CFDT,UNSA-EDUCATION réunies le 4 novembre,
constatent que, malgré le succès de la grève du 17 octobre,
le gouvernement n'a pas entendu les revendications exprimées
avec force.
Le projet de loi
de finances n'a pas été modifié et aucune garantie n'a été donnée
sur l'unité du Service Public d'Education, son amélioration
et son développement.
Aucun véritable
dialogue social n'a été établi alors que le gouvernement multiplie
les déclarations et les actes qui aggravent la situation.
Elles estiment
donc indispensable une poursuite de l'action.
A cette fin elles
proposent à toutes les forces attachées au service public d'éducation
et de recherche et à la réussite de tous les jeunes (parents,
étudiants, lycéens…), une manifestation nationale d'ici la mi
décembre.
Elles en arrêteront
toutes les modalités sous 48h.
Mardi
5 novembre 2002
-
L'Humanité
23/10/02
-
Libération
23/10/02
-
Le
Monde 23/10/02
-
AP
23/10/02
-
Le
gouvernement revalorise de 0,7% les traitements des
fonctionnaires
Le ministre de la Fonction publique
Jean-Paul Delevoye a présenté mercredi en conseil des
ministres un décret revalorisant de 0,7% les traitements
des fonctionnaires à compter du 1er décembre prochain.
Le montant de la rémunération minimale mensuelle brute
des agents de la fonction publique est porté à 1.141,72
euros, et le minimum de pension à 944,87 euros. Cette
revalorisation prévue par le gouvernement Jospin intervient
après une première augmentation de 0,6% intervenue le
1er mars. Ces revalorisations ont été jugées insuffisantes
par l'ensemble des syndicats de fonctionnaires
|
"l'Éducation
n'est pas une marchandise"
Intéressant
pour bien comprendre où "ils" voudraient aller...
si on les laissait faire !
En
cette période de luttes pour la défense et l'amélioration
du Service Public d'Éducation Nationale et où l'on parle
beaucoup de décentralisation, il sera très utile
de (re)lire

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JEUDI
17 OCTOBRE 2002
"PRIORITÉ
A L'ÉDUCATION"
Plus
de 80% de Grévistes
à
La Seyne
de
nombreuses écoles fermées
MANIFESTATION
TOULON
- Photos
FSU
- Communiqué de presse du 17 octobre 2002
"Un
succès qui appelle des réponses"
Avec un taux
de grévistes souvent supérieur à 60% et des dizaines de milliers
de manifestants (notamment 15000 à Paris, 10000 à Marseille,
7000 à Toulouse, 5000 à Bordeaux , 4000 à Rennes…) l’ensemble
des personnels de l’éducation nationale et de la recherche publique,
toutes catégories confondues, a spectaculairement manifesté
son exigence d’une priorité à des secteurs essentiels pour l’avenir
ainsi que son exigence d’une politique ambitieuse pour les jeunes.
Le soutien
de l’opinion, la présence dans les manifestations des parents
et des étudiants montrent combien ces aspirations sont partagées.
Le gouvernement,
plutôt que de « relativiser » l’ampleur du mouvement et des
exigences, doit faire preuve de responsabilité et y répondre.
Cela signifie
réviser les choix budgétaires, respecter les engagements de
l’État et établir une programmation permettant d’assurer
la réussite pour tous.
Cela signifie
aussi donner les garanties que soient préservés et améliorés
le service public national, ses principes, les missions et le
statut des personnels et que soit engagé un véritable débat.
Le débat budgétaire
qui commence à l’Assemblée Nationale le 22 octobre doit être
l’occasion d’apporter de premières réponses.
La FSU débattra
dans ses prochaines instances des propositions qu’elle fera
à ses partenaires au cas où le gouvernement persisterait dans
son refus de répondre.

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Bulletin
N°121
Edito CAPD 29 août et 6 septembre Mouvement 2002 Opération
transparence suite et fin Action 18 sept. direction d’école Carte
scolaire rentrée CTPD 6.9 Réunions d’information syndicale sur
le temps de travail Prérentrée / Formation continue / Concours
IUFM / AE Bulletin d’adhésion SNUipp Var Section locale Draguignan
/ SNUipp Var / Partir enseigner à l’étranger /Permutations /Retraites
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Calendrier
varois des samedis libérés
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1er
Trimestre
|
2ème
Trimestre
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3ème
Trimestre
|
21 Septembre |
18 Janvier
2003 |
7 Juin |
12 Octobre |
1er Février |
28 Juin |
23 Novembre |
15 Février |
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7 Décembre |
22 Mars |
|
21 Décembre |
12 Avril |
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URGENT
- Signez, faites signer et renvoyez la nouvelle pétition
pour le rattrapage des
retards de l'Académie de Nice qui était insérée
dans le dernier Bulletin du SNUipp Var
|
Merci
à tous les Camarades disponibles qui ont pu venir assurer
l'expédition du "gros" Bulletin de rentrée
du SNUipp 83... Tous ne sont pas sur les photos !!!
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