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RISTT
du SNUipp-FSU
Samedi
29 Septembre - Maternelle
Jean Zay - 8h30 - 11h30
Modèles
de lettres
à
l'IEN
aux
Parents d'Elèves

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Vendredi
21 Septembre 2007 - 15h30
Une
délégation de la FSU
a été reçue au Collège Henri Wallon
lors de la visite du
Ministre de l'Education Nationale.
Non remplacement
d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite, suppressions
de postes, classes surchargées, recul de la scolarisation
des 2 ans en maternelle, éducation prioritaire remise
en cause, aide spécialisée insuffisante... autant
de points abordés dans une ville au triste record du
chômage, de la pauvreté, dans une Académie
où les retards ne sont toujours pas rattrapés
!
Il était
important de faire savoir la colère et la détermination
de la profession à ne pas se satisfaire de mots aussi
élogieux soient-ils.
Presse
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Vendredi
21 Septembre 2007 - 17h
Rencontre
SNUipp-FSU - IEN
La
Section Départementale du SNUipp-FSU rencontre tous
les IEN qui arrivent dans le département. Cela permet
un premier échange sur les réalités départementales.
Pour
les questions plus spécifiquement seynoises, une rencontre
aura lieu prochainement.
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Bulletin
N°181 au format PDF (4724
Ko)
Bulletin Départemental N°181 - "Action
- CTPD - CAPD - Direction - RISTT - Syndicalisation..."
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Bulletin
N°180 au format PDF (4980
Ko)
Bulletin Départemental N°180 - "Action
- CTPD - Direction - Consignes syndicales - Syndicalisation -
Nouveau CS..."
|
- Les
Français aiment les fonctionnaires
C'est
sans doute l'un des plus gros obstacles à l'entreprise destructrice
du gouvernement : même si elle n'est pas exempte, à leurs
yeux, de reproches, la fonction publique peut compter sur
un puissant attachement des Français, comme en témoignent
année après année les enquêtes d'opinion...
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Carte scolaire de rentrée - 1 Fermeture à Jules
Verne - Elémentaire
|
Rentrée
2007 : communiqué de presse unitaire
UNSA-Education
- Cé - La ligue de l’enseignement – GFEN – FCPE – CRAP Cahiers
Pédagogiques – FOEVEN - FAEN – FERC-CGT – FSU – SGEN-CFDT – UNL
– FIDL – UNEF – FNEC-FP FO
Nous
le disons avec conviction :
améliorer la réussite scolaire des jeunes,
il n’y a rien de plus urgent !
Aider
efficacement les jeunes les plus en difficulté, former les enseignants
pour cela, bloquer le développement des inégalités sociales
et le danger que représenterait l’instauration d’une école à
deux vitesses, ouvrir un avenir positif pour les jeunes, rien
de plus difficile, rien de plus compliqué sans doute mais rien
de plus indispensable pour les jeunes, pour nous, pour l’avenir
du pays.
C’est
autour de cet objectif que, dans la diversité de nos organisations
représentant toutes les composantes de la communauté éducative,
de façon inédite sans doute, nous avons décidé de nous rassembler
aujourd’hui.
Comment
avancer avec, comme postulat, des réductions budgétaires drastiques
? Aux questions que nous nous posons, la suppression de 11 200
emplois dans l’Education nationale, s’ajoutant aux milliers
déjà subis, est la seule réponse dont il faudrait nous contenter.
Elle est inacceptable.
En
lançant cet appel, nous voulons aujourd’hui, devant l’opinion,
interpeller le gouvernement, le président de la République.
Nous voulons une politique éducative ambitieuse faisant avancer
notre Ecole publique en mettant au cœur la réussite de tous
les jeunes. Nous voulons pour cela d’autres choix, un autre
budget, une autre politique.
Nos
organisations s’engagent à mener en commun une campagne d’explication
et de sensibilisation de l’opinion. Elles se retrouveront pour
envisager la suite à donner à leur action autour d’une initiative
d’ampleur nationale.
Paris,
le 30/08/07
|
Attaques
contre l'Ecole Maternelle
La
scolarisation dès 2 ans
toujours en régression !
Le
graphique
de 2005 montrait déjà que le taux national d'enfants
scolarisés dès 2 ans était tombé au
niveau d'il y a trente ans !
http://snu83.free.fr/maternelle/evolution-2ans-national.htm
Et
ça continue !
Prévisions
nationales d’effectifs d’élèves du premier degré
pour les rentrées 2007 et 2008
"Seule
la scolarisation à 2 ans est différente des évolutions démographiques
puisque moins d’un quart des enfants de 2 ans sont à l’école
en 2006 (graphique 3 et tableau 3). Le taux de scolarisation
des 2 ans, estimé à 22,9 % en 2006, a beaucoup diminué ces dernières
années (2 points par an depuis 2001). Cette évolution est en
grande partie liée à la pression démographique, les enfants
de 2 ans étant le plus souvent accueillis en fonction des places
disponibles. Le taux de scolarisation à 2 ans pourrait, ces
deux prochaines années, poursuivre cette baisse et être voisin
de 21,9%en 2007 et de 20,9 % en 2008".
Note
d'information du Ministère de l'Education Nationale N°31
de Juillet 2007
http://media.education.gouv.fr/file/81/9/5819.pdf
Nouveau
Graphique

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- Les
Français aiment les fonctionnaires
C'est sans
doute l'un des plus gros obstacles à l'entreprise destructrice
du gouvernement : même si elle n'est pas exempte, à leurs
yeux, de reproches, la fonction publique peut compter sur
un puissant attachement des Français, comme en témoignent
année après année les enquêtes d'opinion...
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CTPD
- Ajustement de carte scolaire de rentrée - 1 Fermeture
à Jules Verne Elémentaire
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Section
de La Seyne du SNUipp-FSU
AG de Rentrée
MARDI 4 à
17 h
Maternelle Jean Zay
- Actualité
- Action
- Carte scolaire
: CTPD Vendredi 7 - Apporter les enquêtes
- Direction
- Préparation
de la rencontre avec la nouvelle IEN
- ...
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Rassemblement
devant l'Inspection Académique
à l'appel du SNUipp-FSU
MERCREDI 5
à 14h30
pour accompagner une délégation qui sera
reçue par l'IA
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REUNION
DIRECTION
et fonctionnement de l'Ecole
MERCREDI 5 à 16 heures
au siège du SNUipp-FSU
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Rentrée
2007 : communiqué de presse unitaire
UNSA-Education
- Cé - La ligue de l’enseignement – GFEN – FCPE – CRAP Cahiers
Pédagogiques – FOEVEN - FAEN – FERC-CGT – FSU – SGEN-CFDT – UNL
– FIDL – UNEF – FNEC-FP FO
Nous
le disons avec conviction :
améliorer la réussite scolaire des jeunes,
il n’y a rien de plus urgent !
Aider efficacement
les jeunes les plus en difficulté, former les enseignants pour
cela, bloquer le développement des inégalités sociales et le
danger que représenterait l’instauration d’une école à deux
vitesses, ouvrir un avenir positif pour les jeunes, rien de
plus difficile, rien de plus compliqué sans doute mais rien
de plus indispensable pour les jeunes, pour nous, pour l’avenir
du pays.
C’est autour de
cet objectif que, dans la diversité de nos organisations représentant
toutes les composantes de la communauté éducative, de façon
inédite sans doute, nous avons décidé de nous rassembler aujourd’hui.
Comment avancer
avec, comme postulat, des réductions budgétaires drastiques
? Aux questions que nous nous posons, la suppression de 11 200
emplois dans l’Education nationale, s’ajoutant aux milliers
déjà subis, est la seule réponse dont il faudrait nous contenter.
Elle est inacceptable.
En lançant cet
appel, nous voulons aujourd’hui, devant l’opinion, interpeller
le gouvernement, le président de la République. Nous voulons
une politique éducative ambitieuse faisant avancer notre Ecole
publique en mettant au cœur la réussite de tous les jeunes.
Nous voulons pour cela d’autres choix, un autre budget, une
autre politique.
Nos organisations
s’engagent à mener en commun une campagne d’explication et de
sensibilisation de l’opinion. Elles se retrouveront pour envisager
la suite à donner à leur action autour d’une initiative d’ampleur
nationale.
Paris,
le 30/08/07
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Attaques
contre l'Ecole Maternelle
La
scolarisation dès 2 ans
toujours en régression !
Le
graphique
de 2005 montrait déjà que le taux national d'enfants
scolarisés dès 2 ans était tombé au
niveau d'il y a trente ans !
http://snu83.free.fr/maternelle/evolution-2ans-national.htm
Et
ça continue !
Prévisions
nationales d’effectifs d’élèves du premier degré
pour les rentrées 2007 et 2008
"Seule
la scolarisation à 2 ans est différente des évolutions démographiques
puisque moins d’un quart des enfants de 2 ans sont à l’école
en 2006 (graphique 3 et tableau 3). Le taux de scolarisation
des 2 ans, estimé à 22,9 % en 2006, a beaucoup diminué ces dernières
années (2 points par an depuis 2001). Cette évolution est en
grande partie liée à la pression démographique, les enfants
de 2 ans étant le plus souvent accueillis en fonction des places
disponibles. Le taux de scolarisation à 2 ans pourrait, ces
deux prochaines années, poursuivre cette baisse et être voisin
de 21,9%en 2007 et de 20,9 % en 2008".
Note
d'information du Ministère de l'Education Nationale N°31
de Juillet 2007
http://media.education.gouv.fr/file/81/9/5819.pdf
Nouveau
Graphique



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Direction
d'Ecole : on continue !
Lire le 4 pages du SNUipp
"Spécial
Direction et Fonctionnement de l'Ecole"
Lire
les consignes syndicales dans le Bulletin Départemental
qui va arriver dans les écoles

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Rapport
du HCE
Ecole
primaire : Ne pas noircir le tableau mais agir, vite !
Les
éléments rendus publics du rapport du Haut Conseil de l'Education
qui sera remis lundi au Président de la République noircissent
le tableau de la situation de l'école primaire, en amalgamant
les élèves qui connaissent des difficultés sérieuses et ceux
dont les acquis ne sont pas encore stabilisés ou en cours d'acquisition.
Pour
autant, la situation des élèves en difficulté scolaire est insupportable.
Cette situation, que le SNUipp dénonce de longue date est bien
connue des enseignants qui, loin d'être résignés, se sont souvent
mobilisés pour transformer l'école et obtenir les moyens nécessaires
à la réussite de tous. Par ailleurs, le rapport pointe plusieurs
constats déjà connus.
Ainsi
l'insuffisance de la mise en place des cycles et l'inefficacité
des redoublements précoces dont le nombre a considérablement
baissé depuis 1990 sont soulignés... mais la loi Fillon encourage
à nouveau les redoublements depuis août 2005.
Les extraits
du rapport soulignent également le rôle déterminant de l'école
maternelle. Le SNUipp partage cette appréciation. Mais trop
souvent les ministères ne se sont bornés à faire de la maternelle
qu'une variable d'ajustement au moment des cartes scolaires
sans politique ambitieuse et sans formation spécifique des enseignants.
Le rapport
s'appuie sur l'exemple de la Suède et des Pays-Bas sans préciser
que dans ces pays les taux d'encadrement des élèves sont généralement
meilleurs qu'en France. Les budgets successifs de ces dernières
années, conduisent à des hausses d'effectifs dans les classes
et à une baisse de la scolarisation des élèves en maternelle
tout en rendant plus difficile la prise en charge des élèves
en difficulté. Le budget 2008 aggrave encore cette situation
avec seulement un poste créé pour 50 élèves supplémentaires.
Le rapport
ne propose pas à l'école de revenir en arrière. Il ne formule
aucune proposition nouvelle.
Pour
le SNUipp il est urgent d'agir. L'avenir des enfants se joue
en partie dès l'école maternelle. C'est le sens des propositions
du SNUipp auprès du ministère et des initiatives que le SNUipp
contribuera à construire lors de la réunion des organisations
syndicales de l'éducation prévue le 30 août.
Paris,
le 24 août 2007
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Le SNUipp vient
de prendre connaissance de l'intégralité du rapport que présentera
le Haut Conseil de l'Education au Président de la République.
Ce rapport est décevant : il est uniquement composé d'extraits
de textes antérieurs déjà connus et publiés. Il n'apporte véritablement
aucune idée nouvelle. On serait en droit d'attendre beaucoup
mieux du travail d'un Haut Conseil. Le rapport se borne à énumérer
des points négatifs et ne trouve à l'école élémentaire et maternelle
aucun point d'appui pour aller vers une réussite de tous les
élèves. Si l'école connaît des insuffisances réelles et peine
à faire réussir tous les élèves ce n'est pas ce texte qui peut
constituer un outil utile pour tracer des pistes pour transformer
l'école. A sa demande, le SNUipp sera reçu par M. Darcos, Ministre
de l'Education Nationale dès jeudi prochain et le jeudi 6 septembre
à l'Elysée.
Paris,
le 24 août 2007
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Communiqué
de presse FSU
Mardi
31 juillet 2007
Suppressions
de postes :
l'offre d'Education sera réduite
Si les chiffres
de suppressions de postes annoncées par le Premier ministre
apparaissent comme un recul par rapport aux hypothèses les plus
extrêmes qui est sans doute à mettre au crédit des fortes protestations
qui se sont exprimées, ces suppressions n’en sont pas moins
considérables et marquent une progression importante par rapport
à celles intervenues ces dernières années et auxquelles elles
s’ajoutent.
En outre il s’agit
de minimums qui risquent d’être en fait dépassés, comme cela
a déjà été le cas. Les services publics dans leur diversité
n’en sortiront pas indemnes.
Et ce sont à la
fois les usagers et les agents qui en paieront le prix.
C’est notamment
le cas dans l’éducation où l’affirmation que seulement un fonctionnaire
sur trois n’est pas remplacé oublie la réalité des besoins à
un moment où globalement le nombre d’élèves est en augmentation
et où la lutte contre les inégalités et contre l’échec scolaire
nécessiteraient un effort budgétaire sans précédent : en fait
c’est l’offre d’éducation qui sera réduite tout comme la capacité
d’assurer la réussite de tous, avec un premier degré où le nombre
d’enseignants stagnera alors que le nombre d’élèves va augmenter,
un second degré et des services administratif qui vont connaître
de nouvelles coupes claires.
Dans le supérieur
, en dépit du 1,8 milliard supplémentaire annoncé, il ne devrait
y avoir aucune création alors que le besoin d’encadrement des
étudiants est immense.
Dans tous les
secteurs ces choix vont s’accompagner d’une aggravation de la
précarité.
Encore une fois,
en dépit de relatifs reculs, la logique comptable à courtes
vues a pris le pas sur la réponse aux besoins et aux attentes
et sur les investissements d’avenir.
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Communiqué
de presse des fédérations
UNSA Education, FSU, SGEN-CFDT, FERC-CGT, FAEN
Mercredi
18 juillet 2007
Construire
la mobilisation
L’Education
nationale pourrait subir, à la rentrée 2008 un retrait de postes
inédit. Les chiffres évoqués porteraient sur 17 000 emplois
supprimés, s’ajoutant aux milliers de suppressions de ces dernières
années. C’est une nouvelle attaque contre l’Ecole qui marquerait
une nouvelle étape dans la dégradation, d’une ampleur jamais
atteinte, du service public d’éducation.
Les
conditions d’encadrement et d’enseignement atteindront un point
critique. Les établissements les plus fragiles verront leurs
difficultés accrues, les inégalités s’accentueront. L’offre
de formation sera réduite, l’objectif de la réussite de tous
les élèves compromis. Les personnels verront leurs conditions
de travail se dégrader un peu plus et la précarité s’accentuera
encore.
Les
fédérations UNSA Education, FSU, SGEN-CFDT, FERC-CGT, FAEN dénoncent
ce mauvais coup supplémentaire porté à l’Ecole publique. Elles
appellent à réunir les conditions d’une mobilisation de grande
ampleur dès que possible dans le courant du premier trimestre.
Dans cette optique, elles décident d’organiser, avec les personnels,
au plus près du terrain, les réunions nécessaires pour les informer
et construire, avec eux, cette mobilisation. Elles décident
de solliciter les organisations du monde éducatif (organisations
d’élèves, d’étudiants, de parents d’élèves et associations)
pour agir ensemble à la hauteur des menaces qui pèsent sur le
service public d’éducation.
Les
fédérations UNSA Education, FSU, SGEN-CFDT, FERC-CGT et FAEN
réaffirment leur attachement au respect du droit de grève. Elles
dénoncent l’utilisation faite par le gouvernement de l’argument
du service minimum qui sert à masquer la réalité des problèmes.
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Ahurissant
et inacceptable !
10
000 suppressions de postes !
Paris, le 29
juin 2007
Le Ministre vient
d’annoncer une réduction des effectifs de l’ordre de 10 000
personnels au ministère de l’Éducation Nationale.
Une telle mesure,
si elle était confirmée, poursuivrait la remise en cause de
la scolarisation des élèves en maternelle, alourdirait les effectifs
par classe, rendrait encore plus difficile la scolarisation
des enfants en situation de handicap et hypothéquerait
toute possibilité d’amélioration et de transformation de l’École.
Cette mesure est
d’autant plus inadmissible que les effectifs dans le premier
degré sont en hausse constante depuis 2001 : le Ministère lui-même
prévoit une hausse démographique telle qu’en 2015 le nombre
d’élèves aura augmenté de 176 000 élèves par rapport à 2005
(revue Éducation et Formation, avril 2007).
Comment croire
dans ces conditions à la volonté ministérielle en matière de
soutien et d’aide aux enfants en difficulté, de zone d’Éducation
Prioritaire, de réussite de tous ?
Si ces annonces
se confirment, le SNUipp, avec la FSU, cherchera à organiser
les actions les plus unitaires possibles dès la rentrée.
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Communiqué
de presse - SNUipp-FSU
DIALOGUE OUVERT, POSTES FERMES
?
Paris, le 20 juin 2007
Le
SNUipp a été reçu par le ministre de l’Éducation Nationale,
Xavier Darcos. Le SNUipp a été reçu ce jour par le ministre
de l’Éducation Nationale, Xavier Darcos. Le SNUipp a
rappelé sa volonté d’une rupture dans la politique éducative
menée ces dernières années et son ambition de construire une
école de la réussite de tous les élèves avec ses conséquences
en matière de fonctionnement de l’école, de baisse des effectifs,
de temps pour le travail en équipe. Cela nécessite des moyens
supplémentaires. Le ministre a rappelé qu’il n’envisageait pas
de réforme pédagogique d’ampleur en raison de l’empilement des
réformes et des dispositifs existants. A la demande du SNUipp,
il a répondu que l’évaluation CM2 n’aura pas de caractère obligatoire
à la rentrée 2007 et n’a pas exclu des évolutions de programmes
qui remettent en cause les circulaires De Robien. Le ministre
a confirmé la mise en place d’un chantier sur le métier d’enseignant
qui concernera les professeurs des écoles. Une première réunion
aura lieu dès juillet. La discussion a confirmé de fortes divergences
sur l’expérimentation des EPEP qui avait suscité une très large
opposition. Si le ministre a annoncé qu’il différait la publication
du décret et qu’il procèderait à de nouvelles consultations,
il n’en a pas moins affirmé sa volonté de mettre en place des
EPEP. Le ministre a confirmé que le non remplacement d’un fonctionnaire
sur deux partant en retraite concernera l’Education Nationale.
Le SNUipp s’opposera à cette politique de régression de l’emploi
public qui ne prend en compte ni l’augmentation du nombre d’élèves
en primaire, ni la nécessité d’améliorer et de transformer l’école.
Si le ministre de l’Education Nationale se montre ouvert en
matière pédagogique, en revanche il confirme des orientations
budgétaires inacceptables qui aggravent la situation existante
et hypothèquent toute possibilité de transformation de l’école.
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18-19
JUIN 2007
CONSEIL
NATIONAL DU SNUipp
TEXTE ACTION
Les
choix budgétaires, confirmés par le gouvernement Fillon vont
rendre encore plus difficile la situation dans les écoles. Le
nouveau gouvernement met en oeuvre les premières mesures annoncées
dans son programme : assouplissement de la carte scolaire avec
suppression dès que possible, service minimum, cadeaux fiscaux
pour les plus favorisés, ... Il envisage de mener tambour battant
une réforme de l’Université, il prévoit un texte qui durcit
encore les conditions de regroupement familial. Dans le domaine
de la santé, il envisage de recourir à quatre franchises qui
augmenteront les inégalités en matière d’accès aux soins.
En
matière éducative, le Président de la République a reçu les
fédérations de l’Education Nationale. Il a annoncé l’abrogation
du décret De Robien modifiant le décret de 1950, le renouvellement
des contrats aidés dans le premier degré (scolarisation des
élèves en situation de handicap et aide au fonctionnement de
l’école), a suspendu le dispositif de l’apprentissage junior.
Ces décisions sont évidemment liées aux mobilisations des personnels
et de leurs organisations syndicales. Mais il a confirmé le
non remplacement d’un départ en retraite sur deux dans la fonction
publique d’Etat, en liant d’éventuelles mesures catégorielles
à ces économies. Il prépare un budget dont l’objectif essentiel
est de réduire les coûts (emplois, salaires, ...).
Les
choix budgétaires, confirmés par le gouvernement Fillon vont
rendre encore plus difficile la situation dans les écoles. Seuls
500 postes sont créés à cette rentrée 2007, quand 24 000 élèves
supplémentaires sont attendus dans les classes soit un poste
pour 48 élèves. Cette année déjà, l’insuffisance du nombre d’enseignants
était patente et a été rendue visible par la multiplication
des situations de non-remplacement dans les départements. L’administration
a dû, dans certaines situations tendues, supprimer les décharges
de directeurs, d’IMF et annuler des stages de Formation continue
pour maintenir la présence de maîtres devant les élèves. A la
rentrée, beaucoup d’ouvertures de classe n’auront pas lieu alors
que les effectifs les justifient. Ce décalage entre l’accroissement
du nombre d’élèves et le faible nombre des créations de postes
empêche toute amélioration des conditions d’accueil des élèves.
Or,
la réussite de tous nécessite d’autres choix. Plus que jamais,
il y a nécessité et urgence pour les élèves, les parents et
les enseignants à construire une autre orientation pour l’école.
Des
choix ambitieux pour transformer l’école
Le
SNUipp est porteur d’un projet pour l’école fondé sur la réussite
de tous. La lutte contre l’échec scolaire nécessite un investissement
d’ampleur à l’opposé de la loi Fillon qui doit être retirée.
Un investissement budgétaire ambitieux pour le service public
et laïc d’éducation reste une priorité. Cela passe par la création
de postes afin de baisser les effectifs dans les classes, d’améliorer
les remplacements, de mettre en place de nouveaux fonctionnements
avec plus de maîtres que de classes. Parce qu’au quotidien il
n’existe pas de réponses standardisées face à la multiplicité
des situations de classes, des difficultés des élèves, le métier
d’enseignant est avant tout un métier de conception. Il doit
être accompagné par une formation initiale et continue de qualité
en lien avec la recherche pédagogique. L’école a besoin de travail
en équipe, de temps de concertation.
Maternelle
Alors
que la maternelle joue un rôle prépondérant dans la réussite
ultérieure notamment par la prévention des difficultés des élèves,
les manques y sont évidents et persistants... Le recul de la
scolarisation des enfants de 2/3 ans (de 35% en 1996 à 21% aujourd’hui)
est partout engagé. Les effectifs par classe, les non-remplacements
des enseignants, le manque de formation... compromettent les
conditions de scolarisation. Le SNUipp mènera le débat sur la
scolarisation obligatoire dès 3 ans. L’école maternelle a besoin
de véritables mesures pour être le levier de la réussite de
tous les élèves. Le SNUipp entend porter cette exigence dès
le premier trimestre de l’année scolaire avec tous ses partenaires.
Direction
et fonctionnement
Le
protocole ne règle en rien la question de la direction et du
fonctionnement de l’école. La question du temps et de la reconnaissance
des fonctions reste entière. Le ministère a fait le choix de
mettre en oeuvre un accord minoritaire rejeté par la profession
et a refusé d’ouvrir de vraies négociations prenant en compte
les revendications exprimées majoritairement par les personnels.
Le ministère a décidé de sanctionner les directeurs en blocage
administratif. Le SNUipp demande que les sanctions contre les
directeurs soient levées. Il demande que la direction d’école
et le fonctionnement fassent partie des discussions ministérielles
sur le métier d’enseignant. Dès la rentrée, le Conseil National
appelle à poursuivre l’action sur le fonctionnement et de la
direction d’école. Le Conseil National appelle à poursuivre
le blocage administratif. Il décide de réunir les personnels
sur ces questions dès la rentrée et de débattre des suites de
l’action en vue de la préparation d’Etats Généraux de la direction
et du fonctionnement de l’école, dont le SNUipp décide la tenue
avant les vacances d’automne. Il cherche à les inscrire dans
le cadre le plus unitaire possible.
EPEP
Le
SNUipp poursuit à la rentrée la campagne d’information et de
mobilisation contre les EPEP qui préfigurent un statut de directeurs
et un fonctionnement de l’école à l’opposé de nos demandes.
Le SNUipp décide d’amplifier la campagne de pétition, en s’adressant
à l’opinion publique, aux élus, ...
EVS-
AVS
Après
les rassemblements du 23 mai, les postes d’Emplois Vie Scolaire
sont maintenus. Le SNUipp a été aux côtés des personnels pour
défendre leurs droits et il interviendra en direction des ministères
concernés pour pointer les problèmes dès cette rentrée et obtenir
des réponses favorables concernant la prime de retour à l’emploi,
un réel accompagnement réalisé par des personnels qualifiés,
la mise en place de formations qualifiantes, la reconnaissance
des droits, l’amélioration salariale. En même temps le SNUipp
réaffirme son refus du développement de la précarité dans les
écoles et condamne la confusion volontaire qu’entretient l’administration
entre EVS et AVS. Il demande la définition d’emplois statutaires
avec un plan de recrutement dans les écoles pour répondre aux
besoins de nouveaux métiers pour un meilleur fonctionnement
de l’école et l’accompagnement des enfants handicapés scolarisés
en milieu ordinaire. A la rentrée le SNUipp s’engage à défendre
et organiser les EVS et AVS dans leurs revendications communes
et spécifiques et, développer des mobilisations avec la FSU.
Formation
des enseignants
A
l’heure de l’intégration des IUFM aux universités, le CN rappelle
sa demande d’un cadrage national pour répondre aux exigences
d’une même formation des maîtres, ambitieuse, sur l’ensemble
du territoire. Les bilans de l’organisation du stage filé au
cours de l’année 2006-2007 font apparaître la nécessité de mieux
prendre en compte les impératifs de formation. Dans ce contexte,
le SNUipp poursuit ses interventions sur les contenus et les
conditions de mise en oeuvre de la formation initiale des enseignants.
Il réaffirme l’importance d’une formation continue de qualité
et l’exigence de moyens nécessaires pour l’assurer sur le temps
de travail.
Carrières
L’année
même de la fin théorique du plan d’intégration des instituteurs
dans le corps des PE et presque vingt ans après le passage aux
26h+1, les inégalités dans le déroulement de carrière des enseignants,
leur rémunération, leurs conditions et leur temps de travail
méritent un réel traitement. Le SNUipp interpellera le gouvernement
à ce sujet. Il organisera dès la rentrée une campagne nationale
pour peser dans le cadre des discussions ministérielles.
Base
élèves
L’application
de Base élèves est généralisée dans certains départements, malgré
les demandes de moratoire et de bilan de l’expérimentation.
Le risque de fichage et le contenu actuel de Base élèves inquiètent.
Le SNUipp demande l’arrêt de son utilisation. Il appelle les
écoles à ne pas entrer dans le dispositif ou à neutraliser certains
champs, en particulier nationalité, absentéisme, RASED. Il soutient
les collègues contre toutes les pressions qui pourraient s’exercer..
Il demande la diffusion de logiciels qui permettent la gestion
des écoles sans possibilité d’extraction extérieure du contenu
des fichiers. Le SNUipp s’adresse largement aux personnels,
aux autres organisations syndicales, aux élus, aux associations,
et particulièrement aux organisations de parents d’élèves, pour
construire une mobilisation.
RESF
Les
arrestations de familles sans papiers et les reconduites à la
frontière risquent de se multiplier avec l’approche des vacances
scolaires et la détermination du Président de la République
à mettre en oeuvre une immigration sélective et à augmenter
les reconduites aux frontières. Le SNUipp demande aux maires
d’inscrire les écoles dès la maternelle. Plus que jamais, dans
tous les départements, le SNUipp dans le Réseau Education Sans
Frontières participera aux initiatives pendant l’été pour qu’aucun
enfant scolarisé et sa famille ne soient obligés de quitter
le territoire.
Loi
sur l’immigration
La
création d’un ministère de l’immigration et de l’identité nationale
a été dénoncé par les défenseurs des droits de l’homme et du
citoyen. Un avant-projet de loi relatif à la maîtrise de l’immigration,
à l’intégration et à l’asile vient de paraître. Ce texte durcit
encore les conditions de regroupement familial en aggravant
la loi de 2006 (connaissance de la langue, formation, ressources
indexées à la taille de la famille) et renvoie le droit d’asile
à la compétence de ce même Ministère. Le SNUipp condamne ce
projet qui porte encore davantage atteinte aux droits fondamentaux.
D’ores et déjà, le SNUipp considère que les mobilisations des
personnels sont à construire dès la rentrée. Il s’engage, avec
la FSU, à rassembler la profession le plus largement possible
en réunissant les personnels. Il recherchera l’unité syndicale
nécessaire pour peser dans toutes les discussions avec le ministère.
Il engagera une campagne d’opinion pour informer, débattre et
mobiliser sur ses propositions pour l’école.
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Congrès
National du SNUipp-FSU - Nevers - 5 au 8 juin
Le
VIIe congrès du SNUipp-FSU se tiendra à Nevers du 5 au 8 juin,
juste après la troisième édition de la balle au prisonnier et
avant le grand prix de France de formule 1. Après une période
récente où l’école a été « malmenée », ce sera l’occasion pour
le syndicat de poursuivre sa réflexion sur son projet de transformation
de l’école, en lien avec les personnels. Lors de la première
journée, une table ronde sera organisée sur ce thème avec la
participation de Philippe Meirieu, professeur à l’université
Lyon 2, et de Laure Dumont, journaliste spécialiste des questions
d’éducation. D’autres invités, de la FSU ou représentants des
syndicats enseignants français et étrangers, des mouvements
pédagogiques et d’éducation populaire… seront également présents.
Lors de ce congrès, le SNUipp enrichira également sa réflexion
et ses mandats revendicatifs sur le syndicalisme nécessaire
pour agir et promouvoir des alternatives, en France comme dans
le reste du monde. Plus de 400 délégués de l’ensemble des sections
départementales sont attendus pour ce moment fort de la vie
syndicale qui définira l’orientation générale du SNUipp lors
des trois années à venir.
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Présidentielles
FSU
Texte du BDFN de la FSU - 7 MAI 2007
Avec
une participation importante, les résultats du second tour
de l’élection présidentielle ont désigné Nicolas Sarkozy
. Ils ne peuvent que décevoir profondément et inquiéter
tous ceux qui luttent pour une rupture réelle avec les politiques
conduites ces dernières années et pour de vraies alternatives.
Dans ce
contexte la FSU jouera tout son rôle d’organisation syndicale
représentative, porteuse des propositions et des revendications
des personnels.
-
Elle
entend le faire dans toutes les discussions et concertations
annoncées et à chaque fois que nécessaire mobiliser les
personnels.
-
Elle
développera ses propositions dans le débat public et s’opposera
à toutes les régressions en matière de libertés, d’éducation,
de services publics, de protection sociale et de droits
sociaux.
-
On
ne peut faire face aux difficultés sociales, à celles
de la jeunesse sans investir massivement dans les services
publics.
-
Elle
combattra également toute tentative de passer en force
(université, retraites, ANPE, code du travail...).
-
Elle
s’opposera aux atteintes au droit de grève.
-
Elle
continuera de mobiliser en solidarité avec les élèves,
les jeunes et les familles sans papiers.
-
Elle
combattra les politiques sécuritaires et confirmera son
engagement aux côtés du Collectif National Unitaire de
résistance à la délation.
-
A
la suite de nos actions, Nicolas Sarkozy, candidat, a
pris un certain nombre d’engagements revenant sur les
mesures prises par Gilles de Robien (décrets sur les ORS,
méthodes pédagogiques imposées, apprentissage junior...)
ainsi que sur l’évolution des règles de représentativité.
La FSU demande que le président élu et son gouvernement
les concrétisent au plus vite.
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Elle
exige dès l’installation d’un nouveau gouvernement l’ouverture
de négociations sur les salaires, le maintien et l’amélioration
du pouvoir d’achat dans la fonction publique et les emplois
nécessaires dans les services publics, notamment pour
assurer la rentrée 2007 dans des conditions qui permettent
la réussite de tous.
-
Elle
soutient les initiatives d’action de ses syndicats du
1er et 2nd degré le 23 mai et de l’ANPE le 8 juin.
-
Elle
appelle les personnels à renforcer leurs syndicats pour
défendre leurs revendications.
Plus que
jamais l’unité la plus large au sein du mouvement syndical
est indispensable pour débattre, avancer des propositions
alternatives et mobiliser.
La FSU lance
un appel pour que les organisations syndicales se rencontrent.
Texte
voté par le Bureau Délibératif Fédéral National de la FSU
23 avril 2007
La FSU se félicite
de la participation au premier tour de l’élection présidentielle
qui manifeste un remarquable élan citoyen.
Elle se réjouit
également de l’échec électoral du front national sans se leurrer
sur la diffusion et la banalisation de ses thèses au sein
de certaines familles politiques.
Au moment où
s’ouvre la campagne pour le second tour la FSU réaffirme son
exigence de rompre clairement avec les politiques qu’elle
a combattues ces dernières années et son appel à bâtir des
alternatives autour de quelques axes centraux : un service
public d’éducation qui assure la réussite de tous, une politique
qui assure à tous une véritable égalité d’accès aux droits
fondamentaux et se donne comme priorité la consolidation et
l’amélioration des services publics, une politique ambitieuse
des salaires, des pensions et de l’emploi, une protection
sociale de haut niveau garantissant une réelle solidarité
et une véritable égalité, une réforme des règles de représentativité
et de dialogue social.
Mais en une
rupture avec les politiques répressives et sécuritaires, elle
revendique l’extension des droits et des libertés, la priorité
à la prévention plutôt qu’à la répression, la lutte contre
les discriminations le racisme et la xénophobie, la régularisation
des sans papiers, l’arrêt de la répression et de la criminalisation
des mouvements sociaux.
C’est le sens
de ses luttes, notamment les plus récentes : contre la loi
Fillon et la politique de de Robien, pour les salaires et
l’emploi public, contre la loi Sarkozy sur la prévention de
la délinquance, contre les expulsions d’immigrés et de leurs
enfants aux côtés de RESF, contre la répression des mouvements
sociaux.
Le scrutin pour
le second tour aura des conséquences importantes pour l’avenir
des droits sociaux, des services publics et de l’éducation.
Son résultat pourrait faire peser de graves menaces sur les
droits en particulier le droit de grève, les libertés syndicales
et civiques.
La FSU appelle
les personnels à participer massivement au scrutin dans la
continuité de leurs luttes et en cohérence avec les valeurs
qu’ils défendent.
Elle considère
également que dans ce contexte le mouvement syndical a un
rôle majeur à jouer pour permettre de faire avancer des mesures
de progrès social et de contrer les régressions.
A cet égard
les manifestations du 1er mai vont revêtir une importance
particulière. La FSU souhaite qu’elles soient le plus unitaires
possible et appelle tous les personnels à assurer leur réussite.
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Direction
et fonctionnement des Ecoles
Le SNUipp-FSU
et le Sgen-CFDT se sont rencontrés le 11 octobre 2006.
Ils ont
constaté que le protocole d'accord sur la direction d'école,
qu'ils n'ont pas signé, n'a aucunement réglé les questions du
fonctionnement et de la direction des écoles.
D'ailleurs,
le ministre Gilles de Robien propose aux organisations syndicales
d'ouvrir des discussions sur la fonction du directeur d'école,
le statut de directeur et le fonctionnement de l'école.
Le Sgen-CFDT
et le SNUipp-FSU ont décidé de s'adresser au ministre pour lui
demander de préciser ses objectifs en matière de direction et
de fonctionnement d'école. Par ailleurs ils souhaitent obtenir
des précisions sur le calendrier et l'engagement budgétaire.
Ils rappellent l'urgence de répondre à la demande de temps de
décharge et de reconnaissance de la fonction.
Le SNUipp-FSU
et le Sgen-CFDT appellent les collègues à poursuivre les modalités
de blocage administratif des enquêtes lourdes. Cette action
est bien suivie par un grand nombre d'écoles malgré ci et là
des pressions ou menaces de sanctions que le Sgen-CFDT et le
SNUipp dénoncent fermement.
D'ores
et déjà, le SNUipp-FSU et le Sgen-CFDT appellent les collègues
à multiplier les réactions locales et retiennent le principe
d'une journée nationale de débats et d'initiatives.
Paris,
le 12 octobre 2006
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Blocage
administratif
A cette rentrée 3 800 directions sont vacantes.
Le conflit sur la direction d'école n'est pas clos ! La question
du temps reste prioritairement posée. Les restrictions budgétaires
ne permettent pas d'y répondre. A titre d'exemple, pour décharger
les écoles de 4 classes à cette rentrée sans faire appel aux PE2
en formation, il aurait fallu créer 1 700 postes. Les écoles de
moins de 4 classes ne bénéficient toujours d'aucun temps de décharge.
Un autre budget pour l'Éducation est nécessaire : tous en grève
jeudi 28 septembre !
Le SNUipp appelle dans chaque école les conseils des maîtres et
les directeurs à amplifier le blocage administratif
BLOQUONS
L'ENQUÊTE 19 !
Aucune directive concernant d'éventuelles sanctions n'a été donnée
aux I.A. par le ministère.
Le SNUipp s'opposera à toutes pressions de l'administration.
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Samedi 14 Octobre - Toulon - Photos
Pour la défense et le développement des services publics,
Contre la privatisation de GDF
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Appel des organisations FSU, CGT, ADAJETI, LDH, PCF, UNEF, Solidaires
Lire
l'Appel
Mardi 10 Octobre à Midi - Rassemblement - Toulon
"Non à la chasse aux enfants sans papiers ! Non au fichage
des populations"
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