Le
Midi Libre
http://www.midilibre.fr/actua/001219/1219a05.html
Deux cent dix postes en plus pour l'académie de Montpellier à la
rentrée
2001
(Midi Libre)
Le nombre de postes d'enseignants de maternelle et de primaire
augmentera de 749 à la rentrée 2001 . Avec 210 postes supplémentaires,
l'académie de Montpellier est la mieux dotée. Au total, 1 258 postes
nouveaux d'instituteurs et professeurs des écoles sont créés, et
509
supprimés, surtout dans le nord et l'est de la France, selon le
projet
de carte scolaire divulgué mardi par le principal syndicat d'enseignants
du premier degré, le SNUIpp-FSU. Selon ce syndicat, cette répartition
«
tranche avec les budgets précédents marqués par le gel de l'emploi
public» , mais «ne permet pas de répondre aux attentes exprimées
par les
parents et les enseignants pour la transformation de l'école». Le
SNUIpp propose en conséquence à toutes les organisations syndicales
de «
construire une mobilisation unitaire nationale pour une véritable
transformation de l'école ».
(Midi Libre, 20.12.2000)
Sud-Ouest
http://www.sudouest.com/BORDEAUX_CUB/articles/SEG_35.htm
ENSEIGNEMENT PRIMAIRE
Un bonus de postes
CATHERINE DARFAY
L'académie de Bordeaux héritera de quatre-vingts maîtres de plus
mais,
selon les syndicats, le compte n'y est pas
En attendant de savoir combien de nouveaux postes de professeurs
des
écoles seront proposés au concours 2001, conformément au plan
pluriannuel de Jack Lang, on espère, pour la rentrée prochaine,
749
nouveaux enseignants dans le primaire. Tel est en tout cas le chiffre
établi par le SNUIPP (FSU), syndicat majoritaire, chiffre qui correspond
d'ailleurs aux prévisions budgétaires du ministère. Pas de surprises,
donc, mais des précisions : les académies du Sud seraient les mieux
dotées avec 115 postes pour Toulouse et 80 pour Bordeaux, mais loin
derrière Montpellier (+ 210) ou Nice (+ 120), alors que les académies
du
Nord perdent des postes ( 125 pour Lille).
Reste à savoir comment seront répartis ces postes, département par
département. Ce qui sera fait dans un premier temps par le rectorat
entre les inspections académiques. Puis, poste par poste et école
par
école, par les commissions techniques paritaires et les commissions
départementales de l'éducation nationale. Autant d'étapes complexes
chargées d'établir la fameuse « carte scolaire » souvent contestée
au
printemps, mais qui devrait être débattue plus tôt cette année,
par
souci d'éviter les interférences avec les municipales.
LES LANDES REVENDIQUENT
Reste que, pour les syndicats, « c'est déjà ça » mais le compte
n'y est
pas. A lui tout seul, le département des Landes revendique les quatre-
vingt postes attribués à l'académie. « Et encore, il s'agirait
simplement d'être dans la moyenne nationale du taux d'encadrement
», dit
-on au SNUIPP. Quant au syndicat girondin, il réclame pas moins
de 700
postes : « Évidemment, on prévoit toujours large, mais 200 postes
au
moins seraient nécessaires pour arriver à vingt-cinq élèves par
classe,
pourvoir au temps de décharge nécessaire aux directeurs d'école
et
assurer les remplacements, le département étant parmi les derniers
de la
classe sous ce chapitre. Si rien n'est fait, il faudra à nouveau
avoir
recours à la "liste complémentaire" du concours. »
A noter toutefois que ces deux départements avaient déjà bénéficié
des
meilleurs « bonus » l'an dernier (+ 37 pour la Gironde, + 12 pour
les
Landes), de même que la Charente-Maritime (+ 9) en raison de leur
hausse
démographique. Les autres départements de la région avaient soit
stagné
soit perdu des postes. C'est dire si les uns et les autres attendent
des précisions avec impatience.
La relance de l'internat
Le ministère de l'éducation nationale veut relancer les internats
dans
les collèges et lycées publics. Pour ce faire, il organisait hier
une
journée de réflexion sur le sujet.
L'internat scolaire n'a pas complètement disparu mais, selon les
derniers chiffres dont dispose le ministère (pour l'année scolaire
1998-
1999), seuls 159 329 lycéens et collégiens, soit 3,79 % de l'effectif
scolarisé dans le public en France métropolitaine, faisaient encore
leurs études en « pension ».
Ce sont essentiellement des « grands » qui fréquentent l'internat
et,
pour la plupart, pour des raisons de commodité : ruraux fréquentant
un
établissement très éloigné de leur domicile ou jeunes ayant choisi
une
filière n'existant pas à proximité. Ainsi, 6,11 % des lycéens de
l'enseignement général fréquentent les internats et jusqu'à 12,27
% des
lycéens professionnels, mais seulement 0,32 % des collégiens (7
612
élèves en tout de la sixième à la troisième).
IL Y A DE LA PLACE
Or, le plan de relance que le ministère se propose de mettre en
oeuvre
doit concerner en priorité les collégiens. Il s'agit de permettre
à des
jeunes d'effectuer leur scolarité « dans des conditions de travail
favorables, de trouver ou retrouver un cadre de vie et de travail
stable
en cas de difficultés familiales ou sociales, parfois momentanées
». Il
est donc important de miser sur la période du collège, celle où
se
dessinent souvent des ruptures, afin d'éviter échecs et
marginalisations.
Outre une nouvelle pédagogie et un accent sur la vie scolaire, ce
plan
doit envisager de nouvelles constructions, qui seront nécessaires
si la
demande s'accroît sensiblement. Toutefois, les internats actuels
ne sont
pas encore saturés, puisqu'ils peuvent accueillir au total 198 126
élèves. De plus, ce sont les internats des collèges dont le taux
d'occupation est le plus faible : 55 %, contre plus de 77 % pour
ceux
des lycées.
LG:, Ce sont essentiellement les lycéens qui fréquentent les internats
(Photo Pierre Lavergne)
L'Alsace
http://www.alsapresse.com/jdj/00/12/20/IRF/article_7.html
CARTE SCOLAIRE Strasbourg = 0 poste
Selon le projet de carte scolaire divulgué hier par le principal
syndicat d'enseignants du premier degré, le SNUIpp-FSU, l'académie
de
Strasbourg fait partie des rares académies où le nombre d'enseignants
reste stable, puisqu'aucun poste supplémentaire, en maternelle et
en
primaire, n'est prévu à la rentrée 2001. C'est le cas également
de Paris
, qui reste quasiment stable (+9), de Besançon (+2), Caen (-18),
de la
Corse (0) et d'Orléans-Tours (0). Pour une augmentation globale
de 749
postes, les académies les mieux dotées sont situées dans le sud
ou
l'ouest de la France (Montpellier, Nice, Toulouse, Nantes ou Rennes).
En
revanche, dans le nord et l'est de la France, le nombre d'enseignants
diminuera : l'académie de Lille perdra 125 postes, celle de Nancy-Metz
99, celle de Reims 58, celle de Dijon 56 et celle d'Amiens 48. Ces
chiffres correspondent en gros aux prévisions budgétaires du ministère
de l'Education nationale, présentées en septembre, qui fixaient
à 800 le
nombre de créations de postes de titulaires dans le premier degré
pour
l'année prochaine. Cette répartition « tranche avec les budgets
précédents marqués par le gel de l'emploi public », mais « ne permet
pas
de répondre aux attentes exprimées par les parents et les enseignants
pour la transformation de l'école », indique le SNUIpp qui« propose
à
l'ensemble des organisations syndicales de construire une mobilisation
unitaire nationale pour une véritable transformation de l'école
».
Le Télégramme
http://www.bretagne-online.com/telegram/htdocs/archive/2000/20001220/IG/
article/art_010B070300_2079925.htm
Primaire et maternelle : 749 nouveaux postes prévus en 2001
Le nombre de postes d ’ enseignants de maternelle et de primaire
augmenter a de 749 à la rentrée 2001, les académies les mieux dotées
étant situées dans le sud ou l ’ ouest de la France (Montpellier,
Nice,
Toulouse, Nantes ou Rennes), a indiqué hier le principal syndicat
d ’
enseignants du premier degré.
Au total, 1.258 postes nouveaux d ’ instituteurs et professeurs
des
écoles sont créés, et 509 supprimés, surtout dans le nord et l ’
est de
la France, selon le projet de carte scolaire divulgué par le SNUIpp-FSU.
Ces chiffres correspondent en gros aux prévisions budgétaires du
ministère de l ’ Education nationale, présentées en septembre, qui
fixaient à 800 le nombre de créations de postes de titulaires dans
le
premier degré pour l ’ année 2001.
Cette répartition « tranche avec les budgets précédents marqués
par le
gel de l ’ emploi public », mais « ne permet pas de répondre aux
attentes exprimées par les parents et les enseignants pour la
transformation de l ’ école », indique le SNUIpp qui « propose à
l ’
ensemble des organisations syndicales de construire une mobilisation
unitaire nationale pour une véritable transformation de l ’ école
».
L’académie de Rennes recevra 83 postes
Selon le projet, l ’ académie de Montpellier recevra 210 postes,
celle
de Nice 120, et celle de Toulouse 115. Aix-Marseille recevra 75
postes
supplémentaires, Grenoble 92 et Bordeaux 80. Autres académies bien
dotées : Nantes recevra 120 postes et Rennes 83.
En revanche, dans le nord et l ’ est de la France, le nombre d ’
enseignants diminuera. L ’ académie de Lille perdra 125 postes,
celle de
Nancy-Metz 99, celle de Reims 58, celle de Dijon 56 et celle d ’
Amiens
48.
Les académies comportant de nombreuses zones rurales, comme Limoges
(-
27), Clermont-Ferrand (-40) ou Rouen (-38) subiront aussi une réduction
du nombre de classes.
Le Républicain Lorrain
http://www.republicain-lorrain.fr/Fichiers_Variables/LorL'005.art
Carte scolaire 2001: la Lorraine perdra 99 postes
Beau temps au sud, avis de tempête au Nord, la carte de la prochaine
rentrée scolaire est à l'image du temps. Face aux 749 postes
d'enseignants qui seront créés, la Lorraine en perdra près d'une
centaine.
METZ. - Le premier degré de l'enseignement scolaire sait déjà sur
quelles bases il pourra travailler lors de la prochaine rentrée,
à
l'automne 2001. Le nombre de postes d'enseignants de maternelle
et de
primaire augmentera en effet de 749, les académies les mieux dotées
étant situées dans le sud ou l'ouest de la France (Montpellier,
Nice,
Toulouse, Nantes ou Rennes). Au total, 1 258 postes nouveaux sont
créés,
et 509 supprimés.
Malheureusement, l'académie de Nancy-Metz perdra 99 postes, celle
de
Reims 58, celle de Dijon 56 pour ne citer que les plus proches de
nous,
celle de Strasbourg restant à l'équilibre.
Au rectorat de Lorraine, on expliquait hier que, cette année, l'Académie
a perdu 8 002 élèves dans l'enseignement public dont 3 692 dans
le
premier degré. Pour la rentrée 2001, une nouvelle chute de 5 501
élèves
(2 904 dans le 1er degré) due à la démographie scolaire est à prévoir
soit, au total, 411 879 élèves à accueillir. Compte tenu de ces
projections, le ministère a décidé le retrait de 99 postes dans
le
premier degré mais aussi l'attribution de 19 équivalents emplois
dans le
second degré (collèges, lycées, lycées professionnels) et de 13
emplois
des personnels non enseignants (1 ingénieur, 2 médecins, 5 infirmières,
5 assistantes sociales).
Le rectorat note que si "l'enseignement public du 1er degré
a vu
régulièrement fondre ses effectifs (...) heureusement, le phénomène
se
ralentit." Entre 96-97 et 00-01, les effectifs du 1er degré
sont ainsi
passés de 244 145 à 223 389 soit une perte de 20 756 "ce qui
aurait pu
correspondre à un retrait de 1 200 emplois d'instituteurs et de
professeurs des écoles" selon les décomptes du rectorat qui
ajoute: "en
ne restituant que 551 emplois, c'est donc environ 700 emplois conservés
qui ont permis d'améliorer les conditions d'enseignement sur cette
période."
Pour la présente année scolaire, ce sont finalement 114 emplois
qui
avaient dû être supprimés contre 119 prévus initialement ce qui
montre
que la marge d'appréciation reste faible. Mais les services du rectorat
entendent travailler rapidement sur une répartition "équitable"
des
moyens sollicités, "département par département, circonscription
par
circonscription, école par école." Dès maintenant, on sait
que 45 postes
seront supprimés en Moselle, 38 en Meurthe-et-Moselle, 9 en Meuse
et 7
dans les Vosges.
Pour le second degré public, le rectorat estime que "les moyens
attribués et les baisses des effectifs constatées devraient faciliter
la
mise en oeuvre des réformes" à tous les niveaux tout comme
les
enseignements "en éducation civique, juridique et sociale,
ECJS, et en
classe de seconde d'aide individualisée et de mise à niveau
informatique".
Enfin le rectorat estime que cet apport de moyens devrait permettre
"de
continuer à faire baisser les effectifs des classes de seconde de
lycée
général et technologique encore supérieurs à 30." Mais il souhaite
également "diminuer le nombre des options de lycées à effectifs
trop
réduits qui nécessitent beaucoup de moyens pour peu d'élèves."
Autant de
questions qui seront débattues au cours des prochaines réunions
techniques paritaires destinées à mettre en harmonie ces orientations
générales.
Nice-Matin
http://portail1.nicematin.fr/journal/urd/run/v1_0.index?catid=_JNM&artid
=20001220NIC215
a.-m. informations
120 postes supplémentaires d'instituteurs pour l'académie
La dotation en postes pour la prochaine rentrée dans le premier
degré a
été annoncée hier par le SNUIPP. Le syndicat, insatisfait, appelle
à la
mobilisation
Montpellier et Nice, dans l'ordre, sont les académies les mieux
dotées
en postes pour la rentrée 2001. Le projet de carte scolaire a été
divulgué hier par le SNUIPP, principal syndicat d'enseignants du
premier
degré. Ces deux circonscriptions s'étaient faites remarquer lors
de la
dernière année scolaire à l'occasion de mouvements de grève
particulièrement suivis.
La carte scolaire 2001 attribue à l'académie de Nice (Alpes-Maritimes
et
Var) 120 nouveaux postes d'instituteurs et de professeurs des écoles,
soit seize de mieux que l'année dernière (104 en 2000). Celle de
Grenoble « touche » 92 postes supplémentaires, le nombre de postes
restant inchangé en Corse.
On ne connait pas encore la répartition de cette enveloppe entre
les
Alpes-Maritimes et le Var, mais elle sera dévoilée dans les prochains
jours. Elle devrait, en toute logique, s'équilibrer moitié-moitié
entre
les deux départements.
Ces postes doivent en théorie permettre d'absorber les effectifs
supplémentaires de la prochaine rentrée, soit 600 à 700 enfants
de plus,
selon les chiffres avancés par le SNUIPP, syndicat majoritaire dans
le
premier degré. Le syndicat, qui a dévoilé le nouveau projet de carte
scolaire, a très vite réagi, faisant part de son insatisfaction.
Appel à la mobilisation
Pour Gilles Jean, secrétaire départemental SNUIPP, « cette dotation,
quoiqu'en légère augmentation, reste loin des attentes formulées
par les
enseignants et les parents dans les actions de mars 2000. A ce rythme,
il faudra au minimum dix ans pour rattraper les moyennes nationales
».
Et de rappeler que le rectorat, lui-même, chiffrait l'an dernier
le
rattrapage académique à 492 postes (276 pour les A.-M, 216 pour
le Var).
« Les besoins sont énormes pour faire baisser les effectifs en
maternelle, pour le remplacement des maitres, l'enseignement spécialisé,
la direction d'école ou la formation continue », souligne Gilles
Jean.
De son côté, le rectorat refusait hier soir de commenter cette dotation.
Le SNUIPP appelle déjà les personnels à se mobiliser fortement dans
le
cadre de la préparation de la carte scolaire et du comité technique
paritaire départemental prévu le 29 janvier 2001. Le syndicat
rencontrera demain le recteur « afin de se faire une idée sur les
orientations choisies par ce dernier ».
Grégory LECLERC.
Mercredi 20 Decembre 2000
La Voix du Nord
http://www.lavoixdunord.fr/vdn/journal/2000/12/20/REGION/ART11.shtml
Enseignement
La carte scolaire dévoilée hier : 125 emplois en moins dans les
écoles,
16 en plus dans le secondaire
Des suppressions et des créations de postes
C’EST un moment important dans l’Education nationale : la carte
scolaire
, c’est ce qui prépare les conditions de la prochaine rentrée, celle
de
septembre 2001 en l’occurrence. Les enseignants sont à l’affût,
surtoutceuxquisontamenés à être déplacés au gré des ouvertures et
des
fermetures de poste. Les élus connaissent l’enjeu de ce type de
décisions, et redoublent de vigilance en période de campagne
municipale... Une fermeture de classe et des manifestations de parents,
ça ne fait pas forcément bel effet !
Le détail de ces opérations n’est pas encore connu : hier, en comité
technique paritaire, le recteur Jean-Claude Fortier, a, par contre,
dévoilé les grandes lignes de cette carte scolaire, tandis que
filtraient les informations au plan national.
Ecoles :
125 suppressions
A première vue, c’est l’académie de Lille qui subit la plus grosse
«
saignée » en France : les écoles gagneront globalement 749 emplois
à la
rentrée 2001, tandis que l’académie de Lille en perdra 125 (83 dans
le
Nord et 42 dans le Pas-de-Calais).
Ce n’est pas une surprise : les écoles de la région devraient perdre
un
peu plus de 3 000 élèves en septembre prochain. « Si l’en se tenait
au
ratio, ça aurait pu être 25 % de suppressions en plus », indique-t-on
au
rectorat. Inspecteur d’académie du Nord, René Dunoyer estime que
la
prise en compte du critère social a bénéficié à notre région et
a permis
de limiter la chute des moyens.
Collèges :
235 suppressions
Les collèges de la région perdront à la rentrée 4 215 élèves. «
C’est l’
équivalent de sept collèges », résume Claude Lecompte, secrétaire
général de l’académie. Ils perdront parallèlement 235 postes, ce
qui déj
à suscite des réactions syndicales : « C’est scandaleux. C’est là
où les
conditions de travail sont les plus difficiles », affirme Jean-Paul
Caboche (UNSA-Education-Fen). Le rectorat a un autre point de vue
: «
Compte tenu des réseaux d’éducation prioritaire, l’académie de Lille
aura avec la Corse le meilleur taux d’encadrement à ce niveau »,
affirme
Claude Lecompte.
Lycées :
281 postes créés
A l’évidence, ce seront les grands bénéficiaires, puisque 281 postes
seront créés alors que le nombre d’élèves baissera d’un millier.
LP :
30 postes supprimés
Les lycées professionnels perdront un millier d’élèves, mais avaient
déj
à perdu 1 500 à 2 000 jeunes à la rentrée précédente : en contrepartie
30 postes sont supprimés.
« Nous atteindrons des taux égaux ou supérieurs à la moyenne nationale,
alors qu’il y a trois ans nous étions au dernier rang », affirme
Claude
Lecompte.
A noter enfin 125 poste supplémentaires d’ATOS (emplois non-enseignants)
, à l’inverse des années précédentes : le début d’un plan de rattrapage
pour une région qui n’avait pas forcément été bien servie à ce propos
jusqu’ici.
J.-P. BONDUEL